Les pâtes restent le plat passionnel de nombreuses personnes, petits et grands. Enrouler consciencieusement les spaghetti autour de notre fourchette ne nous rappellerait-il pas quelques instant chéris de notre enfance ? Par exemple, lorsque nous aspirions un spaghetti (un spaghetto pour les puristes) d’un seul coup et que nous nous retrouvions avec les lèvres pleines de sauce tomate. Je ne vanterai jamais assez les plaisirs d’autrefois (pas si autrefois que ça d’ailleurs, en ce qui me concerne – petit clin d’œil à ma maman qui n’oubliera jamais comment je me frottais les mains devant une gigantesque assiette de spaghetti bolo, avec fromage râpé en prime).
Mais revenons à nos moutons. Avez-vous déjà essayé de fabriquer vous-mêmes la pâte de vos pâtes ? Ne me regardez pas comme ça ! Je vous assure que ça en vaut la chandelle. Je suis d’accord avec vous : lorsqu’il faut préparer des spaghetti, coquillettes, tagliatelles, ce n’est pas vraiment pratique – il faut d’abord trois heures pour les façonner, ensuite on laisse sécher sur une dizaine de torchons, puis ça colle… J’adhère à vos arguments.
En revanche, pour certains types de pâtes, c’est un peu plus simple… Voici tout d’abord la recette de base, et par personne (par personne ayant bien faim) : 50g de farine, 50g de semoule de blé dur, du sel, 1oeuf, une cuillère à soupe d’huile. Malaxez bien à la main jusqu’à constituer une boule homogène. Enfermez-la dans du papier alu et laissez reposer 4-5 h à température ambiante. Ce délai passé, malaxez bien la pâte pendant quelques minutes (c’est très bon pour les nerfs). Etalez-la plusieurs fois avec un rouleau à pâtisserie jusqu’à obtenir la pâte la plus fine possible.
Cuisson : 180°, une quarantaine de minutes
Tortellini aux champignons
Beurrez un plat à four. Broyez des champignons crus et de la ciboulette. Découpez des ronds dans votre pâte à l’aide d’un verre assez large. Décollez-les. Déposez au milieu des petits tas de champignons broyés. Repliez en appuyant en bien sur les bords pour enfermer les champignons. Déposez dans le plat. Faîtes revenir des échalotes à la poêle dans un peu de beurre. Recouvrez les tortellini. Faîtes une béchamel. Nappez le tout. Parsemez de l’emmental râpé et enfournez.
Cannelloni ricotta menthe (attention, ce n’est pas une recette pour débutants)
Préparez vos ingrédients : séparez le blanc et le jaune d’un œuf. Faîtes monter le blanc en neige et mélangez-le à 100g de ricotta et quelques feuilles de menthe broyées. Huilez un plat à four. Découpez des rectangles en songeant qu’il faudra en faire des cylindres. Recouvrez-les de jaune d’œuf à l’aide d’un pinceau. Déposez la farce et formez les cylindres. Déposez-les cylindres dans le plat. Recouvrez de purée de tomates et d’un peu de mozzarella et enfournez.
Lasagnes aux fruits
Choisissez des fruits qui cuisent assez rapidement, préférez prunes, rhubarbe, fruits rouges aux pommes, poires… Faites revenir les fruits à la poêle avec 50g de sucre. Délayez une cuillère de maïzena dans 10cl d’eau. Quand les fruits sont cuits, ajoutez à la préparation. Laissez refroidir un peu, puis ajoutez encore deux yaourts. Découpez votre pâte en grands rectangles. Faîtes fondre un peu de beurre et badigeonnez les premiers rectangles (recto/verso). Déposez dans le plat. Recouvrez de la préparation de fruit et renouvelez trois fois l’opération. Enfournez. A l’issue de la cuisson, laissez reposer au moins un quart d’heure avant de consommer.
vendredi 29 mai 2009
vendredi 22 mai 2009
Belle de printemps
Son corps élancée est chapeauté d’une chevelure ondulée par les pluies de printemps et regorgeant de soleil. L’originalité de sa robe verte aux teintes rougeâtre lui sied à ravir. Acidulée, elle sait se faire désirer. En fait, elle ne demande qu’à être saisie par la taille…
Cette jolie plante se trouve au fond de nos jardins. J’ai nommé… la rhubarbe bien sûr ! Je ne vous parlerais pas des classiques tarte meringuée et crumble - qui n’en sont pas moins succulents – mais je songe plutôt à d’autres associations auxquelles on ne pense pas forcément. En tout cas, n’attendez pas trop pour tester car hélas, les plaisirs les plus doux sont toujours les plus courts… Carpe diem donc… et bon app !
Tartine de brousse à la rhubarbe
Coupez deux pieds de rhubarbe en rondelles. Cuisez au micro-onde jusqu’à obtenir de la compote. Sur une tranche de pain paysan, tartinez une épaisse couche de brousse ou broccio. Recouvrez de compote de rhubarbe et mettez une dizaine de minutes au grill du four.
Aiguillettes de canard à la rhubarbe et aux griottes
Quelques heures avant la cuisson, préparez une marinade pour la viande et faîtes tremper : faîtes chauffer (sans faire bouillir) 20cl de vin rouge, une cuillère à café de cannelle, une cuillère à soupe de miel liquide et laissez tiédir.
Au moment de cuire, faites revenir des bâtonnets de rhubarbe dans la sauteuse une dizaine de minutes. Ajoutez-y les airelles et la marinade. Poursuivez la cuisson 5 min pendant lesquelles vous ferez revenir aiguillettes à feu vif à la poêle. Servez les aiguillettes, les fruits. Ajoutez 30g de beurre dans le jus de cuisson afin de former une sauce et nappez les assiettes.
Tarte à la rhubarbe
Etalez la pâte. Coupez la rhubarbe en petits cubes. Recouvrez l’ensemble de pâte des petits cubes. Emiettez des petits beurres nantais, des cookies ou des speculoos (environ 100 g). Mélangez les miettes à deux œufs et une cuillère de crème épaisse. Recouvrez la rhubarbe. Enfournez 35 min à 200°.
Confiture fraise/rhubarbe (1 pot)
Dans un saladier, coupez 200g de rhubarbe et 100g de fraises en petits morceaux. Ajoutez 150g de sucre à confiture et le jus d’un demi citron. Mélangez le tout et mettez au réfrigérateur une nuit. Le lendemain, faîtes revenir à la sauteuse 8 minutes et remplissez votre pot de confiture. Refermez en serrant bien le couvercle. Retournez et n’y touchez plus pendant trois jours.
Cette jolie plante se trouve au fond de nos jardins. J’ai nommé… la rhubarbe bien sûr ! Je ne vous parlerais pas des classiques tarte meringuée et crumble - qui n’en sont pas moins succulents – mais je songe plutôt à d’autres associations auxquelles on ne pense pas forcément. En tout cas, n’attendez pas trop pour tester car hélas, les plaisirs les plus doux sont toujours les plus courts… Carpe diem donc… et bon app !
Tartine de brousse à la rhubarbe
Coupez deux pieds de rhubarbe en rondelles. Cuisez au micro-onde jusqu’à obtenir de la compote. Sur une tranche de pain paysan, tartinez une épaisse couche de brousse ou broccio. Recouvrez de compote de rhubarbe et mettez une dizaine de minutes au grill du four.
Aiguillettes de canard à la rhubarbe et aux griottes
Quelques heures avant la cuisson, préparez une marinade pour la viande et faîtes tremper : faîtes chauffer (sans faire bouillir) 20cl de vin rouge, une cuillère à café de cannelle, une cuillère à soupe de miel liquide et laissez tiédir.
Au moment de cuire, faites revenir des bâtonnets de rhubarbe dans la sauteuse une dizaine de minutes. Ajoutez-y les airelles et la marinade. Poursuivez la cuisson 5 min pendant lesquelles vous ferez revenir aiguillettes à feu vif à la poêle. Servez les aiguillettes, les fruits. Ajoutez 30g de beurre dans le jus de cuisson afin de former une sauce et nappez les assiettes.
Tarte à la rhubarbe
Etalez la pâte. Coupez la rhubarbe en petits cubes. Recouvrez l’ensemble de pâte des petits cubes. Emiettez des petits beurres nantais, des cookies ou des speculoos (environ 100 g). Mélangez les miettes à deux œufs et une cuillère de crème épaisse. Recouvrez la rhubarbe. Enfournez 35 min à 200°.
Confiture fraise/rhubarbe (1 pot)
Dans un saladier, coupez 200g de rhubarbe et 100g de fraises en petits morceaux. Ajoutez 150g de sucre à confiture et le jus d’un demi citron. Mélangez le tout et mettez au réfrigérateur une nuit. Le lendemain, faîtes revenir à la sauteuse 8 minutes et remplissez votre pot de confiture. Refermez en serrant bien le couvercle. Retournez et n’y touchez plus pendant trois jours.
vendredi 15 mai 2009
Anosfourneaux fait son cinéma !
Anosfourneaux fait son cinéma !
Comment rester insensible à la vague de paillettes et de strass qui envahit actuellement nos petits écrans, nos grandes feuilles de choux et nos ondes radiophoniques ? Comment ne pas être gagné par le rêve d’une vie meilleure… sans crise ? Comment ne pas envier le destin de toutes ses stars aux robes toujours plus originales ? Le rêve américain, c’est possible, nous dit le cinéma et ce qui l’entoure.
Bon, alors replongeons-nous dans quelques classiques car, le Festival de Cannes, ce n’est qu’une fois par an…
Commençons par LE film de cette période. Peut-être pas le plus intellectuel, peut-être pas non plus un chef d’œuvre technique, mais au fond, il a remporté un grand défi dans la morosité ambiante : faire rire les Français !
Bienvenue chez les Chtis ou la flamiche au maroilles
Dans le film, il se consomme au petit-déjeuner, avec un grand bol de chicorée… Respirez, c’est le maroilles ! Sur une pâte à pizza, étalez deux cuillères à soupe bien bombées de crème épaisse. Déposez les tranches de maroilles. Vous pouvez rajouter un peu d’emmental râpée. Enfournez une douzaine de minutes à 200°.
PS : Attention, si vous sortez après le repas, changez de vêtements et décapez-vous les dents !
Allez, après cette parenthèse rafraîchissante, continuons à frissonner, mais de peur cette fois avec les Oiseaux… Le grand Hitchcock était obsédé par tous les charmants volatiles, et il nous a fait part de ces terreurs dans un grand film. Après l’avoir vu, vous ne verrez plus les oiseaux qui seront sur votre chemin du même œil. Alors autant les avoir dans votre assiette !
Cailles aux raisins
Epluchez délicatement et épépinez des grains de raisins blancs. Faîtes fondre 20g de beurre dans une sauteuse. Faites revenir les cailles pendant une dizaine de minutes à feu vif. Salez. Ajoutez ensuite une cuillère à soupe de cognac et flambez. Baissez le feu et laissez à nouveau mijoter 5min. Versez le raisin dans la sauteuse et laissez cuire à couvert une dizaine de minutes.
Il était une fois dans l’Ouest… le western spaghetti. Pourquoi spaghetti ? Je ne sais pas. Toujours est-il que ce film est le symbole du genre. Alors, pour changer des spaghettis bolo…
Spaghetti au chèvre
Faîtes cuire une courgette coupée en rondelles au cuit-vapeur et broyez-la. Réservez. Faites chauffez 25cl de lait avec 30g de beurre. Quand le mélange est homogène, ajoutez 30g de farine petit à petit et fouettez bien jusqu’à ce que la béchamel soit formée. Déposez le chèvre frais dans le mélange (70 g) et tournez délicatement jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Ajoutez encore la purée de courgettes. Pendant ce temps, faites cuire les pâtes. Servez dans les assiettes et versez la sauce.
Terminons peut-être par une note de douceur…
Certains l’aiment chaud…
Faites fondre 100g de copeaux de chocolat noir dans 1 litre de lait. Ajoutez de cuillères à café de maïzena petit à petit et en fouettant jusqu’à ce que le mélange soit onctueux. N’attendez plus, servez !
Comment rester insensible à la vague de paillettes et de strass qui envahit actuellement nos petits écrans, nos grandes feuilles de choux et nos ondes radiophoniques ? Comment ne pas être gagné par le rêve d’une vie meilleure… sans crise ? Comment ne pas envier le destin de toutes ses stars aux robes toujours plus originales ? Le rêve américain, c’est possible, nous dit le cinéma et ce qui l’entoure.
Bon, alors replongeons-nous dans quelques classiques car, le Festival de Cannes, ce n’est qu’une fois par an…
Commençons par LE film de cette période. Peut-être pas le plus intellectuel, peut-être pas non plus un chef d’œuvre technique, mais au fond, il a remporté un grand défi dans la morosité ambiante : faire rire les Français !
Bienvenue chez les Chtis ou la flamiche au maroilles
Dans le film, il se consomme au petit-déjeuner, avec un grand bol de chicorée… Respirez, c’est le maroilles ! Sur une pâte à pizza, étalez deux cuillères à soupe bien bombées de crème épaisse. Déposez les tranches de maroilles. Vous pouvez rajouter un peu d’emmental râpée. Enfournez une douzaine de minutes à 200°.
PS : Attention, si vous sortez après le repas, changez de vêtements et décapez-vous les dents !
Allez, après cette parenthèse rafraîchissante, continuons à frissonner, mais de peur cette fois avec les Oiseaux… Le grand Hitchcock était obsédé par tous les charmants volatiles, et il nous a fait part de ces terreurs dans un grand film. Après l’avoir vu, vous ne verrez plus les oiseaux qui seront sur votre chemin du même œil. Alors autant les avoir dans votre assiette !
Cailles aux raisins
Epluchez délicatement et épépinez des grains de raisins blancs. Faîtes fondre 20g de beurre dans une sauteuse. Faites revenir les cailles pendant une dizaine de minutes à feu vif. Salez. Ajoutez ensuite une cuillère à soupe de cognac et flambez. Baissez le feu et laissez à nouveau mijoter 5min. Versez le raisin dans la sauteuse et laissez cuire à couvert une dizaine de minutes.
Il était une fois dans l’Ouest… le western spaghetti. Pourquoi spaghetti ? Je ne sais pas. Toujours est-il que ce film est le symbole du genre. Alors, pour changer des spaghettis bolo…
Spaghetti au chèvre
Faîtes cuire une courgette coupée en rondelles au cuit-vapeur et broyez-la. Réservez. Faites chauffez 25cl de lait avec 30g de beurre. Quand le mélange est homogène, ajoutez 30g de farine petit à petit et fouettez bien jusqu’à ce que la béchamel soit formée. Déposez le chèvre frais dans le mélange (70 g) et tournez délicatement jusqu’à ce que le mélange soit homogène. Ajoutez encore la purée de courgettes. Pendant ce temps, faites cuire les pâtes. Servez dans les assiettes et versez la sauce.
Terminons peut-être par une note de douceur…
Certains l’aiment chaud…
Faites fondre 100g de copeaux de chocolat noir dans 1 litre de lait. Ajoutez de cuillères à café de maïzena petit à petit et en fouettant jusqu’à ce que le mélange soit onctueux. N’attendez plus, servez !
vendredi 8 mai 2009
Elle a tout d’une grande !
Non, je ne parle pas du dernier bolide à la mode. La grande, c’est plutôt la charmante dame qui, ces temps-ci, a daigné sortir le bout de son nez des terres alsaciennes (et autres sûrement). On pourrait la qualifier d’or de la terre.
Pourquoi ? Parce que 1) elle est hors de prix (sa saveur n’a pas de prix, mais tout de même…) 2) elle ne nous fait l’honneur de siéger à nos tables qu’au mois de mai (donc rare).
Notre joyau entre dans sa période faste sur les étals des marchés, et la crise économique ambiante ne lui fait perdre ni ses couleurs… ni sa saveur !
Bon app !
Entrée : asperges à la coque
Epluchez des asperges. Faîtes-les cuire à la cocotte minute. Faîtes cuire des œufs à la coque (2 min à ébullition). Lorsque ces derniers sont prêts, retirez leur « chapeau ». Salez et ajoutez de la ciboulette. Mélangez délicatement à l’aide d’une cuillère à café. Trempez vos asperges dans le jaune et dégustez.
Asperges royales
Cuites à la cocotte minute, tout simplement, assorties de vinaigrette, mayonnaise ou béarnaise et de quelques tranches de jambon. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple… et tellement bon !
Œufs en cocotte espagnols
Emincez et épépinez un poivron rouge. Huilez des cassolettes allant au four. Déposez à l’intérieur : des tranches de poivron, des asperges vertes (en boîte), un peu de jambon serrano (ou chorizo), des tranches de champignons et des morceaux d’oignons. Recouvrez de sauce tomate (ou tomates concassées) et cassez un œuf au-dessus du mélange. Salez et enfournez à 200° pendant 30 minutes.
Omelette catalane
Toujours avec des asperges vertes ! Cassez des œufs dans un saladier et battez-les bien. Salez et ajoutez un peu de persil. Chauffez de l’huile d’olive dans une poêle. Versez les œufs et déposez les asperges tout de suite après. Laissez prendre les œufs en prêtant attention à ne pas les brûler. Servez immédiatement.
Pourquoi ? Parce que 1) elle est hors de prix (sa saveur n’a pas de prix, mais tout de même…) 2) elle ne nous fait l’honneur de siéger à nos tables qu’au mois de mai (donc rare).
Notre joyau entre dans sa période faste sur les étals des marchés, et la crise économique ambiante ne lui fait perdre ni ses couleurs… ni sa saveur !
Bon app !
Entrée : asperges à la coque
Epluchez des asperges. Faîtes-les cuire à la cocotte minute. Faîtes cuire des œufs à la coque (2 min à ébullition). Lorsque ces derniers sont prêts, retirez leur « chapeau ». Salez et ajoutez de la ciboulette. Mélangez délicatement à l’aide d’une cuillère à café. Trempez vos asperges dans le jaune et dégustez.
Asperges royales
Cuites à la cocotte minute, tout simplement, assorties de vinaigrette, mayonnaise ou béarnaise et de quelques tranches de jambon. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple… et tellement bon !
Œufs en cocotte espagnols
Emincez et épépinez un poivron rouge. Huilez des cassolettes allant au four. Déposez à l’intérieur : des tranches de poivron, des asperges vertes (en boîte), un peu de jambon serrano (ou chorizo), des tranches de champignons et des morceaux d’oignons. Recouvrez de sauce tomate (ou tomates concassées) et cassez un œuf au-dessus du mélange. Salez et enfournez à 200° pendant 30 minutes.
Omelette catalane
Toujours avec des asperges vertes ! Cassez des œufs dans un saladier et battez-les bien. Salez et ajoutez un peu de persil. Chauffez de l’huile d’olive dans une poêle. Versez les œufs et déposez les asperges tout de suite après. Laissez prendre les œufs en prêtant attention à ne pas les brûler. Servez immédiatement.
vendredi 1 mai 2009
Un partenariat gastronomico-culturel
Le 2 mai célèbre un anniversaire. Non, je ne confonds pas avec la Fête du Travail chômée du 1er mai, je vous parle bien du 2 mai. Laissons un instant notre petit bouquet de muguet solidaire pour nous envoler vers de lointaines contrées…
Et bien c’est l’anniversaire de Bouddha ! Date parfaite donc pour concrétiser le partenariat d’anosfourneaux et du blog de Mimi « Retour à Séoul » (lien sur la colonne de gauche). En effet, Mimi est une de mes plus ferventes lectrices, qui, elle aussi, met à jour un blog régulièrement. Au passage, je vous conseille fortement d’y faire un petit tour. Vous aurez ensuite une idée assez précise sur la culture coréenne (avec photos, videos et chansons à l’appui).
Mais revenons à notre préoccupation, la cuisine. Ce n’est pas que je veuille absolument fêter Bouddha, mais pour moi, la cuisine, c’est aussi l’ouverture à d’autres cultures. Dans les spécialités culinaires d’un pays, on retrouve, à mon sens, un peu de l’âme et de l’identité de sa population. Apprenons donc à mieux connaître les Coréens avec cet anosfourneaux spécial Corée en partenariat avec Mimi.
Kimpap
Faîtes cuire la quantité de riz souhaitée dans un cuiseur à riz (indispensable pour obtenir le riz collant). Laissez refroidir. Etalez une natte de bambou sur votre plan de travail et déposez-y une feuille d’algues séchées. Formez une ligne de riz (2-3 cm de largeur, 1 cm de hauteur) à peu près au trois quarts de la feuille d’algue. Garnissez le riz à votre convenance (poisson cru, surimi, jambon…). Recouvrez légèrement d’une fine couche de riz. Repliez la natte de bambou afin de pouvoir serrer très fort le riz dans la feuille d’algue et renouvelez l’opération autant de fois que nécessaire pour que la feuille d’algue soit complètement enroulée autour du riz. A une des extrémités de la feuille d'algue, on peut coller des petits paquets de riz pour que le tout tienne en un morceau une fois roulé. Coupez en tronçons et mettez au frais avant de servir.
Conseils de Mimi :
- On peut également humidifier le riz avec une goutte de sauce de soja pour le rendre moins sec.
- La plupart des ingrédients qu'on utilise en Corée ne sont pas disponibles en France (comme par exemple le navet jaune mariné), les combinaisons d'ingrédients les plus heureuses sont : jambon-omelette-tranches de fromage à croque monsieur, et cornichons-saumon/thon/surimi.
Roulés aux algues
Battez 4-5 œufs et salez. Faîtes chauffer un peu d’huile dans une poêle. Versez les œufs battus. Laissez cuire 1 min. Déposez une feuille d’algues. Laissez cuire jusqu’à solidification totale des œufs. Roulez l’omelette, déposez le rouleau sur un plan de travail et découpez des cylindres. Laissez refroidir et mettez au frais.
Bulgogi
Découpez des morceaux de bœuf. Faîtes-les mariner une demi-journée avec des morceaux de poires et de pommes, de l’ail, de la sauce soja, de sel, de l’huile d’olive. Faîtes revenir à la poêle (ou encore mieux, au wok) et servez avec du riz.
Conseil de Mimi : manger le bulgogi à la coréenne, c'est-à-dire en en mettant un peu dans une feuille de salade avec du riz blanc, c'est le sandwich coréen !
Au risque de vous décevoir, les Coréens ne sont pas très fans de desserts. Lorsqu’il leur arrive d’en manger, ce sont des fruits ou des ttoks, gâteaux un peu farineux que vous pouvez admirer ci-dessous grâce à Mimi.
Et vous trouverez bien d’autres recettes coréennes sur le blog de Mimi.
Et bien c’est l’anniversaire de Bouddha ! Date parfaite donc pour concrétiser le partenariat d’anosfourneaux et du blog de Mimi « Retour à Séoul » (lien sur la colonne de gauche). En effet, Mimi est une de mes plus ferventes lectrices, qui, elle aussi, met à jour un blog régulièrement. Au passage, je vous conseille fortement d’y faire un petit tour. Vous aurez ensuite une idée assez précise sur la culture coréenne (avec photos, videos et chansons à l’appui).
Mais revenons à notre préoccupation, la cuisine. Ce n’est pas que je veuille absolument fêter Bouddha, mais pour moi, la cuisine, c’est aussi l’ouverture à d’autres cultures. Dans les spécialités culinaires d’un pays, on retrouve, à mon sens, un peu de l’âme et de l’identité de sa population. Apprenons donc à mieux connaître les Coréens avec cet anosfourneaux spécial Corée en partenariat avec Mimi.
Kimpap
Faîtes cuire la quantité de riz souhaitée dans un cuiseur à riz (indispensable pour obtenir le riz collant). Laissez refroidir. Etalez une natte de bambou sur votre plan de travail et déposez-y une feuille d’algues séchées. Formez une ligne de riz (2-3 cm de largeur, 1 cm de hauteur) à peu près au trois quarts de la feuille d’algue. Garnissez le riz à votre convenance (poisson cru, surimi, jambon…). Recouvrez légèrement d’une fine couche de riz. Repliez la natte de bambou afin de pouvoir serrer très fort le riz dans la feuille d’algue et renouvelez l’opération autant de fois que nécessaire pour que la feuille d’algue soit complètement enroulée autour du riz. A une des extrémités de la feuille d'algue, on peut coller des petits paquets de riz pour que le tout tienne en un morceau une fois roulé. Coupez en tronçons et mettez au frais avant de servir.
Conseils de Mimi :
- On peut également humidifier le riz avec une goutte de sauce de soja pour le rendre moins sec.
- La plupart des ingrédients qu'on utilise en Corée ne sont pas disponibles en France (comme par exemple le navet jaune mariné), les combinaisons d'ingrédients les plus heureuses sont : jambon-omelette-tranches de fromage à croque monsieur, et cornichons-saumon/thon/surimi.
Roulés aux algues
Battez 4-5 œufs et salez. Faîtes chauffer un peu d’huile dans une poêle. Versez les œufs battus. Laissez cuire 1 min. Déposez une feuille d’algues. Laissez cuire jusqu’à solidification totale des œufs. Roulez l’omelette, déposez le rouleau sur un plan de travail et découpez des cylindres. Laissez refroidir et mettez au frais.
Bulgogi
Découpez des morceaux de bœuf. Faîtes-les mariner une demi-journée avec des morceaux de poires et de pommes, de l’ail, de la sauce soja, de sel, de l’huile d’olive. Faîtes revenir à la poêle (ou encore mieux, au wok) et servez avec du riz.
Conseil de Mimi : manger le bulgogi à la coréenne, c'est-à-dire en en mettant un peu dans une feuille de salade avec du riz blanc, c'est le sandwich coréen !
Au risque de vous décevoir, les Coréens ne sont pas très fans de desserts. Lorsqu’il leur arrive d’en manger, ce sont des fruits ou des ttoks, gâteaux un peu farineux que vous pouvez admirer ci-dessous grâce à Mimi.
Et vous trouverez bien d’autres recettes coréennes sur le blog de Mimi.
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